Macon Wine Note ?
Des vins mâcon sans fausse note
Les 22 et 23 mai, les producteurs de vins mâcon vont encore faire vibrer
Mâcon. L’Union (UPVM) entend une nouvelle fois accorder ensemble sur
l’esplanade Lamartine : groupes musicaux variés, restauration “terroir”
avec un écailler, expositions sur la vigne, cave aux arômes et
évidemment un bar à vins, avec les meilleurs vins issus de la sélection
de la prochaine distinction Saint-Vincent Mâcon (20 mars). Le tout à
ciel ouvert. Rien de moins et ce, pour les plus grands plaisirs de tous…
Mâcon. L’Union (UPVM) entend une nouvelle fois accorder ensemble sur
l’esplanade Lamartine : groupes musicaux variés, restauration “terroir”
avec un écailler, expositions sur la vigne, cave aux arômes et
évidemment un bar à vins, avec les meilleurs vins issus de la sélection
de la prochaine distinction Saint-Vincent Mâcon (20 mars). Le tout à
ciel ouvert. Rien de moins et ce, pour les plus grands plaisirs de tous…

Le 4 mars, c’était déjà la « dernière ligne droite » pour l’UPVM qui prépare sa 4e édition des Mâcon Wine Note ? Tout était passé en revue : plan de l’esplanade Lamartine, communication, exposition, sécurité du site, bar à vin, restauration… La vingtaine de producteurs bénévoles se démènent. La maîtrise de l’événement est évidente. Et les améliorations recherchées aussi pour cette 4e édition.
Ainsi, la scène sera « côté Saône » avec le pont Saint Laurent en arrière plan. Le bar à vin est lui décalé pour une meilleure visibilité, pour laisser plus d’espace aux fans de musique et permettre aux amateurs de vins de déguster « avec un niveau sonore agréable ». Ce seront les éléments les plus visibles à côté d’autres moins (frigo avec vitre pour voir les bouteilles, signalétique au dessus des tentes pour repérer où acheter des tickets ou aller voir les expositions, confort des loges…). La ville de Mâcon peut être fière de ses vignerons mâconnais et compte donc l’afficher dans les prochaines semaines. Avec le BIVB, ils sont d’ailleurs des fidèles partenaires. L’Interprofession des vins de Bourgogne viendra avec sa cave aux arômes permettant aux novices comme aux plus expérimentés de mettre à l’épreuve son (ses) sens de la dégustation.
L’Union des producteurs de vins Mâcon avait fait 2.600 entrées (5 € avec un verre) l’an dernier. « Nous avions manqué de vins le vendredi et on avait pris sur ceux du samedi avant d’aller en rechercher », sourit Jérôme Chevalier, le président de l’UPVM. A 1,5 € le verre et 10 € la bouteille, les vins de la distinction Saint Vincent Mâcon sont en effet très appréciés. Même s’il faut savoir déguster avec modération.
Les vins mâcon seront à l’image des groupes musicaux : locaux, jeunes et dynamiques. Le temps de deux soirées, huit groupes se produiront. La « tête d’affiche » passera samedi soir à 21 h. Il s’agit d’Arno Santamaria qui vient de « cartonner » sur M6 (Rising Star). « C’est surtout un vrai musicien », rajoute Franck Perraton. Et il sait de quoi il parle, lui qui est fan de musique. Et ça se sent quand il décrit les Mâconnais d’Alcaloïde (vendredi 18 h ; reprises de rock français), le Mâconnais Stéphane Desmaris (20 h ; compositeur de chansons françaises), Alex Bianchi (21h30 ; soul blues) « qui colle parfaitement à l’événement » ou les « supers sympas » mâconnais de Botox Boys avec leurs reprise pop rock (23 h). Idem le samedi dès 17 h 30 avec Pecho La Quetri et son rock français “made in Boyer” (à côté de Tournus, NDLR), avec après Soul Deepeer (19 h) « du funk avec une super chanteuse » ou Djaya (23 h 15) pour du reggae (la “faiblesse” de Franck, NDLR) qui est un « enfant du pays et fils de viticulteur » en plus ! A découvrir sans faute…
Confrérie Saint-Vincent Mâcon : à l'assaut de Montmartre
Ainsi, la scène sera « côté Saône » avec le pont Saint Laurent en arrière plan. Le bar à vin est lui décalé pour une meilleure visibilité, pour laisser plus d’espace aux fans de musique et permettre aux amateurs de vins de déguster « avec un niveau sonore agréable ». Ce seront les éléments les plus visibles à côté d’autres moins (frigo avec vitre pour voir les bouteilles, signalétique au dessus des tentes pour repérer où acheter des tickets ou aller voir les expositions, confort des loges…). La ville de Mâcon peut être fière de ses vignerons mâconnais et compte donc l’afficher dans les prochaines semaines. Avec le BIVB, ils sont d’ailleurs des fidèles partenaires. L’Interprofession des vins de Bourgogne viendra avec sa cave aux arômes permettant aux novices comme aux plus expérimentés de mettre à l’épreuve son (ses) sens de la dégustation.
L’Union des producteurs de vins Mâcon avait fait 2.600 entrées (5 € avec un verre) l’an dernier. « Nous avions manqué de vins le vendredi et on avait pris sur ceux du samedi avant d’aller en rechercher », sourit Jérôme Chevalier, le président de l’UPVM. A 1,5 € le verre et 10 € la bouteille, les vins de la distinction Saint Vincent Mâcon sont en effet très appréciés. Même s’il faut savoir déguster avec modération.
Les vins mâcon seront à l’image des groupes musicaux : locaux, jeunes et dynamiques. Le temps de deux soirées, huit groupes se produiront. La « tête d’affiche » passera samedi soir à 21 h. Il s’agit d’Arno Santamaria qui vient de « cartonner » sur M6 (Rising Star). « C’est surtout un vrai musicien », rajoute Franck Perraton. Et il sait de quoi il parle, lui qui est fan de musique. Et ça se sent quand il décrit les Mâconnais d’Alcaloïde (vendredi 18 h ; reprises de rock français), le Mâconnais Stéphane Desmaris (20 h ; compositeur de chansons françaises), Alex Bianchi (21h30 ; soul blues) « qui colle parfaitement à l’événement » ou les « supers sympas » mâconnais de Botox Boys avec leurs reprise pop rock (23 h). Idem le samedi dès 17 h 30 avec Pecho La Quetri et son rock français “made in Boyer” (à côté de Tournus, NDLR), avec après Soul Deepeer (19 h) « du funk avec une super chanteuse » ou Djaya (23 h 15) pour du reggae (la “faiblesse” de Franck, NDLR) qui est un « enfant du pays et fils de viticulteur » en plus ! A découvrir sans faute…
Confrérie Saint-Vincent Mâcon : à l'assaut de Montmartre
La Confrérie Saint-Vincent Mâcon s'exporte et est partie à l'assaut de Montmartre. Une conquète de longue date en fait puisqu'il s'agissait du 816e chapitre à 200 mètres des célèbres vignes du Clos. Huit impétrants ont été intronisés “chevaliers dans l'ordre de Saint-Vincent” dont Myriam Boyer, actrice de cinéma (télévision et théâtre) et maman de Clovis Cornillac. Le tout « à la bonne franquette » se félicitait Bernard Bénas, le président de la confrérie.