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Abreuvement

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

L’eau et l’abreuvement sont trop souvent le parent pauvre dans la conception d’un bâtiment d’élevage. Partie prenante du bien-être animal, c’est pourtant un élément clé de la santé et de la productivité du troupeau. Comme beaucoup d’aspects de la réussite d’un élevage, un abreuvement de qualité passe avant tout par du bon sens basé sur l’observation de la vie de l’animal. L’eau doit être saine, disponible et accessible et les animaux doivent pouvoir boire à volonté et paisiblement.

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

En élevage, l’eau est le premier nutriment des animaux qu’il ne faut pas sous-estimer. « Trop souvent, l’eau reste le parent pauvre dans la conduite des élevages alors qu’elle est souvent impliquée, de manière diffuse, dans des problèmes de performances ou de santé du troupeau », rappelle le GDS 71.

Premier impératif : il faut une eau de qualité. Cela implique de procéder à des analyses, notamment dans le cas d’un captage privé, recommande le GDS. Les teneurs en coliformes totaux, Eschérichia coli ou streptocoques fécaux doivent être inférieures à 5 germes pour 100 ml d’eau. Un quatrième germe – clostridium sulfito-réducteur - doit être en dessous de 10 germes pour 100 ml, indique-t-on.

55 à 120 litres d’eau par jour

Second impératif : l’eau doit être disponible en quantité suffisante. Une vache allaitante avec son veau a besoin d’au moins 55 litres d’eau par jour. Il en faut entre 80 et 120 litres par jour à une vache laitière en lactation ; 25 litres pour une génisse de 18 mois ; 15-20 litres pour une femelle d’un an ; 20 litres pour un mâle d’un an. Un élevage allaitant de cent vêlages a besoin de 7 à 8 mètres cubes d’eau chaque jour. Un abreuvement insuffisant a un impact sur la production laitière et le GMQ. Engendrant un lait plus gras, le manque d’eau peut aussi entraîner des problèmes de digestion sur les veaux allaitants.

Multiplier les points d’eau

Le nombre de points d’eau, leur débit, leur accessibilité sont autant de questions à appréhender, que ce soit à la conception d’un bâtiment ou bien pour résoudre un problème d’élevage. L’accès à l’eau est parfois la clé d’un déficit de production dans un élevage où tout semble bien calé, font remarquer les techniciennes du GDS. Autrefois dans les étables, les vaches allaitantes disposaient d’un abreuvoir pour deux. Aujourd’hui, dans les stabulations, elles n’en ont plus qu’un seul pour une case de 16 voire un demi abreuvoir ! La première recommandation est donc de multiplier les points d’eau dans un bâtiment. Les vaches ont tendance à boire toutes en même temps. Aussi, est-il préconisé de regarder le débit du captage disponible. Les abreuvoirs doivent avoir un débit d’au moins 12 litres par minute ! Un bac réserve tampon peut être une solution en cas de débit insuffisant. Un système de surpresseur ou un abreuvoir à réserve (bac) aussi. 

Le point d’abreuvement doit être parfaitement accessible. Un bovin ne doit pas être gêné par la hauteur du point d’eau ni pour placer sa tête pour accéder à l’abreuvoir… Il faut vraiment soigner l’abreuvement à la conception d’un bâtiment, recommande le GDS. Nombre de points d’eau, accessibilité, compteurs à eau dédié, indépendance des abreuvoirs, section des canalisations… sont autant de points qu’il faut intégrer dans la réflexion préalable à la construction d’un bâtiment neuf.

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

En élevage, l’eau est le premier nutriment des animaux qu’il ne faut pas sous-estimer. « Trop souvent, l’eau reste le parent pauvre dans la conduite des élevages alors qu’elle est souvent impliquée, de manière diffuse, dans des problèmes de performances ou de santé du troupeau », rappelle le GDS 71.

Premier impératif : il faut une eau de qualité. Cela implique de procéder à des analyses, notamment dans le cas d’un captage privé, recommande le GDS. Les teneurs en coliformes totaux, Eschérichia coli ou streptocoques fécaux doivent être inférieures à 5 germes pour 100 ml d’eau. Un quatrième germe – clostridium sulfito-réducteur - doit être en dessous de 10 germes pour 100 ml, indique-t-on.

55 à 120 litres d’eau par jour

Second impératif : l’eau doit être disponible en quantité suffisante. Une vache allaitante avec son veau a besoin d’au moins 55 litres d’eau par jour. Il en faut entre 80 et 120 litres par jour à une vache laitière en lactation ; 25 litres pour une génisse de 18 mois ; 15-20 litres pour une femelle d’un an ; 20 litres pour un mâle d’un an. Un élevage allaitant de cent vêlages a besoin de 7 à 8 mètres cubes d’eau chaque jour. Un abreuvement insuffisant a un impact sur la production laitière et le GMQ. Engendrant un lait plus gras, le manque d’eau peut aussi entraîner des problèmes de digestion sur les veaux allaitants.

Multiplier les points d’eau

Le nombre de points d’eau, leur débit, leur accessibilité sont autant de questions à appréhender, que ce soit à la conception d’un bâtiment ou bien pour résoudre un problème d’élevage. L’accès à l’eau est parfois la clé d’un déficit de production dans un élevage où tout semble bien calé, font remarquer les techniciennes du GDS. Autrefois dans les étables, les vaches allaitantes disposaient d’un abreuvoir pour deux. Aujourd’hui, dans les stabulations, elles n’en ont plus qu’un seul pour une case de 16 voire un demi abreuvoir ! La première recommandation est donc de multiplier les points d’eau dans un bâtiment. Les vaches ont tendance à boire toutes en même temps. Aussi, est-il préconisé de regarder le débit du captage disponible. Les abreuvoirs doivent avoir un débit d’au moins 12 litres par minute ! Un bac réserve tampon peut être une solution en cas de débit insuffisant. Un système de surpresseur ou un abreuvoir à réserve (bac) aussi. 

Le point d’abreuvement doit être parfaitement accessible. Un bovin ne doit pas être gêné par la hauteur du point d’eau ni pour placer sa tête pour accéder à l’abreuvoir… Il faut vraiment soigner l’abreuvement à la conception d’un bâtiment, recommande le GDS. Nombre de points d’eau, accessibilité, compteurs à eau dédié, indépendance des abreuvoirs, section des canalisations… sont autant de points qu’il faut intégrer dans la réflexion préalable à la construction d’un bâtiment neuf.

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

En élevage, l’eau est le premier nutriment des animaux qu’il ne faut pas sous-estimer. « Trop souvent, l’eau reste le parent pauvre dans la conduite des élevages alors qu’elle est souvent impliquée, de manière diffuse, dans des problèmes de performances ou de santé du troupeau », rappelle le GDS 71.

Premier impératif : il faut une eau de qualité. Cela implique de procéder à des analyses, notamment dans le cas d’un captage privé, recommande le GDS. Les teneurs en coliformes totaux, Eschérichia coli ou streptocoques fécaux doivent être inférieures à 5 germes pour 100 ml d’eau. Un quatrième germe – clostridium sulfito-réducteur - doit être en dessous de 10 germes pour 100 ml, indique-t-on.

55 à 120 litres d’eau par jour

Second impératif : l’eau doit être disponible en quantité suffisante. Une vache allaitante avec son veau a besoin d’au moins 55 litres d’eau par jour. Il en faut entre 80 et 120 litres par jour à une vache laitière en lactation ; 25 litres pour une génisse de 18 mois ; 15-20 litres pour une femelle d’un an ; 20 litres pour un mâle d’un an. Un élevage allaitant de cent vêlages a besoin de 7 à 8 mètres cubes d’eau chaque jour. Un abreuvement insuffisant a un impact sur la production laitière et le GMQ. Engendrant un lait plus gras, le manque d’eau peut aussi entraîner des problèmes de digestion sur les veaux allaitants.

Multiplier les points d’eau

Le nombre de points d’eau, leur débit, leur accessibilité sont autant de questions à appréhender, que ce soit à la conception d’un bâtiment ou bien pour résoudre un problème d’élevage. L’accès à l’eau est parfois la clé d’un déficit de production dans un élevage où tout semble bien calé, font remarquer les techniciennes du GDS. Autrefois dans les étables, les vaches allaitantes disposaient d’un abreuvoir pour deux. Aujourd’hui, dans les stabulations, elles n’en ont plus qu’un seul pour une case de 16 voire un demi abreuvoir ! La première recommandation est donc de multiplier les points d’eau dans un bâtiment. Les vaches ont tendance à boire toutes en même temps. Aussi, est-il préconisé de regarder le débit du captage disponible. Les abreuvoirs doivent avoir un débit d’au moins 12 litres par minute ! Un bac réserve tampon peut être une solution en cas de débit insuffisant. Un système de surpresseur ou un abreuvoir à réserve (bac) aussi. 

Le point d’abreuvement doit être parfaitement accessible. Un bovin ne doit pas être gêné par la hauteur du point d’eau ni pour placer sa tête pour accéder à l’abreuvoir… Il faut vraiment soigner l’abreuvement à la conception d’un bâtiment, recommande le GDS. Nombre de points d’eau, accessibilité, compteurs à eau dédié, indépendance des abreuvoirs, section des canalisations… sont autant de points qu’il faut intégrer dans la réflexion préalable à la construction d’un bâtiment neuf.

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

De l’eau disponible et accessible à volonté pour l'abreuvement des animaux !

En élevage, l’eau est le premier nutriment des animaux qu’il ne faut pas sous-estimer. « Trop souvent, l’eau reste le parent pauvre dans la conduite des élevages alors qu’elle est souvent impliquée, de manière diffuse, dans des problèmes de performances ou de santé du troupeau », rappelle le GDS 71.

Premier impératif : il faut une eau de qualité. Cela implique de procéder à des analyses, notamment dans le cas d’un captage privé, recommande le GDS. Les teneurs en coliformes totaux, Eschérichia coli ou streptocoques fécaux doivent être inférieures à 5 germes pour 100 ml d’eau. Un quatrième germe – clostridium sulfito-réducteur - doit être en dessous de 10 germes pour 100 ml, indique-t-on.

55 à 120 litres d’eau par jour

Second impératif : l’eau doit être disponible en quantité suffisante. Une vache allaitante avec son veau a besoin d’au moins 55 litres d’eau par jour. Il en faut entre 80 et 120 litres par jour à une vache laitière en lactation ; 25 litres pour une génisse de 18 mois ; 15-20 litres pour une femelle d’un an ; 20 litres pour un mâle d’un an. Un élevage allaitant de cent vêlages a besoin de 7 à 8 mètres cubes d’eau chaque jour. Un abreuvement insuffisant a un impact sur la production laitière et le GMQ. Engendrant un lait plus gras, le manque d’eau peut aussi entraîner des problèmes de digestion sur les veaux allaitants.

Multiplier les points d’eau

Le nombre de points d’eau, leur débit, leur accessibilité sont autant de questions à appréhender, que ce soit à la conception d’un bâtiment ou bien pour résoudre un problème d’élevage. L’accès à l’eau est parfois la clé d’un déficit de production dans un élevage où tout semble bien calé, font remarquer les techniciennes du GDS. Autrefois dans les étables, les vaches allaitantes disposaient d’un abreuvoir pour deux. Aujourd’hui, dans les stabulations, elles n’en ont plus qu’un seul pour une case de 16 voire un demi abreuvoir ! La première recommandation est donc de multiplier les points d’eau dans un bâtiment. Les vaches ont tendance à boire toutes en même temps. Aussi, est-il préconisé de regarder le débit du captage disponible. Les abreuvoirs doivent avoir un débit d’au moins 12 litres par minute ! Un bac réserve tampon peut être une solution en cas de débit insuffisant. Un système de surpresseur ou un abreuvoir à réserve (bac) aussi. 

Le point d’abreuvement doit être parfaitement accessible. Un bovin ne doit pas être gêné par la hauteur du point d’eau ni pour placer sa tête pour accéder à l’abreuvoir… Il faut vraiment soigner l’abreuvement à la conception d’un bâtiment, recommande le GDS. Nombre de points d’eau, accessibilité, compteurs à eau dédié, indépendance des abreuvoirs, section des canalisations… sont autant de points qu’il faut intégrer dans la réflexion préalable à la construction d’un bâtiment neuf.

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