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Formations Bois et Forêt

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

Tendance, chaleureux, écologique le bois bénéficie d’une excellente image auprès du grand public. Pourtant ce secteur d’activité peine à recruter et ses formations manquent de candidats.

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

On appelle ça un déficit d’image : les métiers du bois ne sont pas "attractifs". Considérés au mieux comme difficiles, trop physiques, peu rémunérateurs et exposés aux aléas climatiques, certains d’entre eux, comme les travaux forestiers et la scierie, sont totalement inconnus.

« Nous rencontrons de réels problèmes de recrutement : les classes ne dépassent jamais huit élèves », indique Véronique Mahamat, directrice de l’École technique du bois de Cormaranche-en-Bugey (Ain). « En formation affûteur : on n’en forme jamais plus de deux par an ! C’est dommage, car le taux d’insertion est excellent, à 100 %. Les jeunes diplômés ont même le choix de leur employeur, et les salaires sont attractifs ». Cet établissement a été créé il y a vingt-cinq ans, à l’initiative des professionnels de la première transformation face au manque criant de jeunes formés à leurs métiers.

Mieux se faire connaître

En Auvergne Rhône-Alpes comme en Bourgogne Franche-Comté, la filière Bois et Forêt constitue un secteur économique de poids. Aujourd’hui, elle doit combattre des idées reçues et un manque de notoriété. Pour cela, elle a mis au point programme de communication. « Il s’agit de faire connaître la diversité des métiers, l’évolution des techniques et des pratiques. Grâce aux nouvelles technologies, au numérique et à la mécanisation, nos métiers sont en pleine mutation. Il faut aussi rappeler que c’est une filière vertueuse qui fournit des emplois locaux en zone rurale », précise Bénédicte Muller, chargée de mission Fibois Auvergne Rhône-Alpes. « Au cœur du dispositif, le site www.metier-foret-bois.org a fait peau neuve. Des kits de communication sont à la disposition des interprofessions et des organisations professionnelles pour soutenir l’animation lors de forums métiers et orientation. Une brochure Onisep, à destination des collèges et lycées est consacrée aux métiers de la forêt et du bois », précise-t-elle. « Les industriels sont également sollicités pour qu’ils développent le lien entre école et entreprise, pour faire connaître leur secteur d’activité aux apprenants comme aux enseignants ».

Une bourse d’emploi nationale dédiée à la filière : emplois-foret-bois.org a été créé pour mieux diffuser les offres et demandes d’emploi, de stages et d’apprentissages spécifiques à ces métiers.

D’après Magdeleine Barralon

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

On appelle ça un déficit d’image : les métiers du bois ne sont pas "attractifs". Considérés au mieux comme difficiles, trop physiques, peu rémunérateurs et exposés aux aléas climatiques, certains d’entre eux, comme les travaux forestiers et la scierie, sont totalement inconnus.

« Nous rencontrons de réels problèmes de recrutement : les classes ne dépassent jamais huit élèves », indique Véronique Mahamat, directrice de l’École technique du bois de Cormaranche-en-Bugey (Ain). « En formation affûteur : on n’en forme jamais plus de deux par an ! C’est dommage, car le taux d’insertion est excellent, à 100 %. Les jeunes diplômés ont même le choix de leur employeur, et les salaires sont attractifs ». Cet établissement a été créé il y a vingt-cinq ans, à l’initiative des professionnels de la première transformation face au manque criant de jeunes formés à leurs métiers.

Mieux se faire connaître

En Auvergne Rhône-Alpes comme en Bourgogne Franche-Comté, la filière Bois et Forêt constitue un secteur économique de poids. Aujourd’hui, elle doit combattre des idées reçues et un manque de notoriété. Pour cela, elle a mis au point programme de communication. « Il s’agit de faire connaître la diversité des métiers, l’évolution des techniques et des pratiques. Grâce aux nouvelles technologies, au numérique et à la mécanisation, nos métiers sont en pleine mutation. Il faut aussi rappeler que c’est une filière vertueuse qui fournit des emplois locaux en zone rurale », précise Bénédicte Muller, chargée de mission Fibois Auvergne Rhône-Alpes. « Au cœur du dispositif, le site www.metier-foret-bois.org a fait peau neuve. Des kits de communication sont à la disposition des interprofessions et des organisations professionnelles pour soutenir l’animation lors de forums métiers et orientation. Une brochure Onisep, à destination des collèges et lycées est consacrée aux métiers de la forêt et du bois », précise-t-elle. « Les industriels sont également sollicités pour qu’ils développent le lien entre école et entreprise, pour faire connaître leur secteur d’activité aux apprenants comme aux enseignants ».

Une bourse d’emploi nationale dédiée à la filière : emplois-foret-bois.org a été créé pour mieux diffuser les offres et demandes d’emploi, de stages et d’apprentissages spécifiques à ces métiers.

D’après Magdeleine Barralon

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

On appelle ça un déficit d’image : les métiers du bois ne sont pas "attractifs". Considérés au mieux comme difficiles, trop physiques, peu rémunérateurs et exposés aux aléas climatiques, certains d’entre eux, comme les travaux forestiers et la scierie, sont totalement inconnus.

« Nous rencontrons de réels problèmes de recrutement : les classes ne dépassent jamais huit élèves », indique Véronique Mahamat, directrice de l’École technique du bois de Cormaranche-en-Bugey (Ain). « En formation affûteur : on n’en forme jamais plus de deux par an ! C’est dommage, car le taux d’insertion est excellent, à 100 %. Les jeunes diplômés ont même le choix de leur employeur, et les salaires sont attractifs ». Cet établissement a été créé il y a vingt-cinq ans, à l’initiative des professionnels de la première transformation face au manque criant de jeunes formés à leurs métiers.

Mieux se faire connaître

En Auvergne Rhône-Alpes comme en Bourgogne Franche-Comté, la filière Bois et Forêt constitue un secteur économique de poids. Aujourd’hui, elle doit combattre des idées reçues et un manque de notoriété. Pour cela, elle a mis au point programme de communication. « Il s’agit de faire connaître la diversité des métiers, l’évolution des techniques et des pratiques. Grâce aux nouvelles technologies, au numérique et à la mécanisation, nos métiers sont en pleine mutation. Il faut aussi rappeler que c’est une filière vertueuse qui fournit des emplois locaux en zone rurale », précise Bénédicte Muller, chargée de mission Fibois Auvergne Rhône-Alpes. « Au cœur du dispositif, le site www.metier-foret-bois.org a fait peau neuve. Des kits de communication sont à la disposition des interprofessions et des organisations professionnelles pour soutenir l’animation lors de forums métiers et orientation. Une brochure Onisep, à destination des collèges et lycées est consacrée aux métiers de la forêt et du bois », précise-t-elle. « Les industriels sont également sollicités pour qu’ils développent le lien entre école et entreprise, pour faire connaître leur secteur d’activité aux apprenants comme aux enseignants ».

Une bourse d’emploi nationale dédiée à la filière : emplois-foret-bois.org a été créé pour mieux diffuser les offres et demandes d’emploi, de stages et d’apprentissages spécifiques à ces métiers.

D’après Magdeleine Barralon

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

Le secteur du bois et de la forêt recrute... Avis aux jeunes en recherche d'orientation

On appelle ça un déficit d’image : les métiers du bois ne sont pas "attractifs". Considérés au mieux comme difficiles, trop physiques, peu rémunérateurs et exposés aux aléas climatiques, certains d’entre eux, comme les travaux forestiers et la scierie, sont totalement inconnus.

« Nous rencontrons de réels problèmes de recrutement : les classes ne dépassent jamais huit élèves », indique Véronique Mahamat, directrice de l’École technique du bois de Cormaranche-en-Bugey (Ain). « En formation affûteur : on n’en forme jamais plus de deux par an ! C’est dommage, car le taux d’insertion est excellent, à 100 %. Les jeunes diplômés ont même le choix de leur employeur, et les salaires sont attractifs ». Cet établissement a été créé il y a vingt-cinq ans, à l’initiative des professionnels de la première transformation face au manque criant de jeunes formés à leurs métiers.

Mieux se faire connaître

En Auvergne Rhône-Alpes comme en Bourgogne Franche-Comté, la filière Bois et Forêt constitue un secteur économique de poids. Aujourd’hui, elle doit combattre des idées reçues et un manque de notoriété. Pour cela, elle a mis au point programme de communication. « Il s’agit de faire connaître la diversité des métiers, l’évolution des techniques et des pratiques. Grâce aux nouvelles technologies, au numérique et à la mécanisation, nos métiers sont en pleine mutation. Il faut aussi rappeler que c’est une filière vertueuse qui fournit des emplois locaux en zone rurale », précise Bénédicte Muller, chargée de mission Fibois Auvergne Rhône-Alpes. « Au cœur du dispositif, le site www.metier-foret-bois.org a fait peau neuve. Des kits de communication sont à la disposition des interprofessions et des organisations professionnelles pour soutenir l’animation lors de forums métiers et orientation. Une brochure Onisep, à destination des collèges et lycées est consacrée aux métiers de la forêt et du bois », précise-t-elle. « Les industriels sont également sollicités pour qu’ils développent le lien entre école et entreprise, pour faire connaître leur secteur d’activité aux apprenants comme aux enseignants ».

Une bourse d’emploi nationale dédiée à la filière : emplois-foret-bois.org a été créé pour mieux diffuser les offres et demandes d’emploi, de stages et d’apprentissages spécifiques à ces métiers.

D’après Magdeleine Barralon

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