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Projet FNSEA+JA

Projet FNSEA+JA aux élections chambres d'Agriculture, pour une agriculture attractive, de progrès, reconnue…

Redonner une ambition claire à l’agriculture française, promouvoir des politiques agricoles cohérentes à son service, lui permettre de se développer et de créer de la valeur pour les femmes et  les hommes qui la  font, c’est la condition indispensable pour redonner confiance et perspectives aux agriculteurs. C’est le projet FNSEA et JA.

Par Publié par Cédric Michelin

Il y a 70 ans, le défi de l’agriculture française était de nourrir la population et d’apporter au pays une autosuffisance alimentaire. Les objectifs étaient clairs… Aujourd’hui, les objectifs sont plus complexes et donc moins lisibles dans un monde qui bouge de plus en plus vite. De la complexité s’est installée à tous les niveaux : métier qui a radicalement changé, évolutions de l’agriculture française et en Europe, révolution numérique, défi alimentaire qui est passé du quantitatif au qualitatif, multiplication des attentes sociétales sur l’agriculture... Si, par le passé, le monde agricole a été soumis à des transformations, jamais il n’a eu à répondre à autant d’enjeux simultanément. Jamais il n’a été confronté à une telle accélération de changements. Jamais il n’a donné lieu à des débats avec autant de parties prenantes.

Tout ne va pas mal dans l’agriculture mais des adaptations sont, comme de tout temps, nécessaires. Ainsi la FNSEA et les JA ont présenté leur projet pour les élections chambres d’Agriculture 2019 qui repose sur une agriculture : attractive, de progrès, une agriculture reconnue pour ses multiples contributions et au cœur des projets Européens.

Pour une agriculture attractive, FNSEA et JA continuent de porter « la passion du métier, l’audace de s’installer et l’envie de transmettre ». Pour les responsables professionnels, la première richesse de l’agriculture, ce sont les femmes et les hommes qui la font vivre. Quatre grands axes pour cela : toujours améliorer l’accompagnement des jeunes qui s’installent, fluidifier les transmissions, créer les leviers pour entreprendre et investir, enfin redynamiser les territoires ruraux.

Deuxième objectif, défendre une agriculture de progrès « pour que chacun vive dignement de son métier », martèlent FNSEA et JA. Là encore dans le but de structurer les territoires par des filières dynamiques, qui s’appuie sur des exploitations de type familial dirigées par des agricultrices et des agriculteurs qui maîtrisent leur exploitation et sont autonomes dans leurs choix et en mesure de porter des projets collectifs. Pour y parvenir, quatre grands axes à nouveau : poser le cadre d’une rémunération juste pour le producteur au sein des filières, redonner aux exploitations des outils de multi performance, donner de la confiance par une politique ambitieuse de protection contre les aléas et enfin, accompagner les plus fragiles.

Troisième objectif, se battre pour que l’agriculture soit reconnue pour ses multiples contributions et notamment réussir à la reconnecter à la société. Pour répondre aux interrogations de la société sur l’activité agricole, la meilleure réponse n’est pas institutionnelle, mais celle portée par les agriculteurs sur le terrain. FNSEA et JA veulent ainsi valoriser les solutions portées par les agriculteurs et nouer des alliances avec les consommateurs. Ensuite, poursuivre les actions de pédagogie et remettre du pragmatisme et du bons sens face à l’irrationnel. D’ailleurs, la profession veut faire cesser la déconsidération récurrente de l’activité agricole qui mine le moral des agriculteurs.

Enfin, quatrième objectif, garder une agriculture au cœur du projet Européen. A l’heure de Trump, des sanctions Russe, de l’impérialisme chinois, du Brexit… l’Europe doit prendre toute sa place dans la construction du monde et porter un projet agricole européen, avec notamment des priorités fortes pour la future Pac post-2020.

Projet FNSEA+JA aux élections chambres d'Agriculture, pour une agriculture attractive, de progrès, reconnue…

Il y a 70 ans, le défi de l’agriculture française était de nourrir la population et d’apporter au pays une autosuffisance alimentaire. Les objectifs étaient clairs… Aujourd’hui, les objectifs sont plus complexes et donc moins lisibles dans un monde qui bouge de plus en plus vite. De la complexité s’est installée à tous les niveaux : métier qui a radicalement changé, évolutions de l’agriculture française et en Europe, révolution numérique, défi alimentaire qui est passé du quantitatif au qualitatif, multiplication des attentes sociétales sur l’agriculture... Si, par le passé, le monde agricole a été soumis à des transformations, jamais il n’a eu à répondre à autant d’enjeux simultanément. Jamais il n’a été confronté à une telle accélération de changements. Jamais il n’a donné lieu à des débats avec autant de parties prenantes.

Tout ne va pas mal dans l’agriculture mais des adaptations sont, comme de tout temps, nécessaires. Ainsi la FNSEA et les JA ont présenté leur projet pour les élections chambres d’Agriculture 2019 qui repose sur une agriculture : attractive, de progrès, une agriculture reconnue pour ses multiples contributions et au cœur des projets Européens.

Pour une agriculture attractive, FNSEA et JA continuent de porter « la passion du métier, l’audace de s’installer et l’envie de transmettre ». Pour les responsables professionnels, la première richesse de l’agriculture, ce sont les femmes et les hommes qui la font vivre. Quatre grands axes pour cela : toujours améliorer l’accompagnement des jeunes qui s’installent, fluidifier les transmissions, créer les leviers pour entreprendre et investir, enfin redynamiser les territoires ruraux.

Deuxième objectif, défendre une agriculture de progrès « pour que chacun vive dignement de son métier », martèlent FNSEA et JA. Là encore dans le but de structurer les territoires par des filières dynamiques, qui s’appuie sur des exploitations de type familial dirigées par des agricultrices et des agriculteurs qui maîtrisent leur exploitation et sont autonomes dans leurs choix et en mesure de porter des projets collectifs. Pour y parvenir, quatre grands axes à nouveau : poser le cadre d’une rémunération juste pour le producteur au sein des filières, redonner aux exploitations des outils de multi performance, donner de la confiance par une politique ambitieuse de protection contre les aléas et enfin, accompagner les plus fragiles.

Troisième objectif, se battre pour que l’agriculture soit reconnue pour ses multiples contributions et notamment réussir à la reconnecter à la société. Pour répondre aux interrogations de la société sur l’activité agricole, la meilleure réponse n’est pas institutionnelle, mais celle portée par les agriculteurs sur le terrain. FNSEA et JA veulent ainsi valoriser les solutions portées par les agriculteurs et nouer des alliances avec les consommateurs. Ensuite, poursuivre les actions de pédagogie et remettre du pragmatisme et du bons sens face à l’irrationnel. D’ailleurs, la profession veut faire cesser la déconsidération récurrente de l’activité agricole qui mine le moral des agriculteurs.

Enfin, quatrième objectif, garder une agriculture au cœur du projet Européen. A l’heure de Trump, des sanctions Russe, de l’impérialisme chinois, du Brexit… l’Europe doit prendre toute sa place dans la construction du monde et porter un projet agricole européen, avec notamment des priorités fortes pour la future Pac post-2020.