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Tendances alimentaires

Révolution numérique et consommation alimentaire : ce qui a changé

En 2007 naissait le premier smartphone. Avec lui, la possibilité d’accéder partout et en tout temps à Internet. Si l’on y voyait au départ une utilisation purement « tech » ou de loisirs, il est clair aujourd’hui que le secteur agroalimentaire est de plus en plus concerné. Vous en doutez ou vous vous sentez à l’abri ? Commandes en ligne, comparaison de listes d’ingrédients, vérification des allergènes, géolocalisation de produits, vérification de la traçabilité… Le téléphone est devenu l’assistant alimentaire de chaque consommateur. Comment le numérique a-t-il bouleversé la relation des consommateurs à l’achat alimentaire ? Réponse avec Vitagora, le Pôle de Compétitivité agroalimentaire en Bourgogne et au-delà.

Par Publié par Cédric Michelin
Révolution numérique et consommation alimentaire : ce qui a changé

Désormais, on imagine mal faire sans : Internet est utilisé pour tout et par tous. D’ailleurs, en France, 86% des personnes ont accès à internet et 3 Français sur 4 s’y rendent chaque jour. Dans quel but ? Travail, loisirs… mais aussi pour les achats : 85% des internautes français achètent en ligne. Sans surprise, la tranche d’âge la plus concernée par les achats en ligne est la génération Y (25-34 ans)… mais même les internautes de plus de 65 ans sont touchés par le virus du e-commerce avec 75% d’acheteurs en ligne. En conséquence, le nombre de sites marchands suit une croissance exponentielle : de 82.000 en 2010, il grimpe désormais à plus de 204.000.

Plus récemment encore, avec l’apparition du smartphone il y a 10 ans, les « applis » (logiciel informatique sur smartphones et tablettes tactiles) se sont développées. A l’origine de nouveaux usages du web : 87% du temps passé sur Internet depuis un smartphone se fait par une application, contre 13% par le navigateur. Plus ludiques et plus rapides, les « applis » ont développé un nouveau rapport des consommateurs à l’achat. Il est possible d’acheter partout, tout le temps, en un seul clic : depuis un arrêt de bus à 6h du matin, depuis son lit à 23h, ou depuis un hall de gare ou une station de métro. Le m-commerce (ventes réalisées depuis les smartphones ou mobiles en anglais, sic) est en plein boom, favorisé par son omniprésence mais également par des programmes de fidélité et un fort capital sympathie : les experts estiment qu’il représentera plus de 600 milliards de $ de chiffres d’affaires en 2021, c’est-à-dire dans seulement 3 ans.

Et l’alimentaire, dans tout ça ?

Le lien entre e-commerce et agroalimentaire n’est pas toujours le plus évident. Et pourtant : tous les secteurs d’activité sont concernés par ce bouleversement des comportements. Par exemple, au Royaume-Uni, ce sont déjà 50% des commandes d’une grande chaine de pizzas qui sont réalisées par l’application mobile. Dans un autre registre, au croisement du monde des loisirs et de la restauration, le pouvoir de la géolocalisation des smartphones a permis à près de 500 millions de joueurs de l’appli « Pokémon Go » de se diriger vers des lieux sponsorisés de consommation (cafés, fast food…). Captation de nouveaux clients, fidélisation, visibilité : toutes les entreprises agroalimentaires ont intérêt à exploiter ces nouveaux canaux.

Aujourd’hui, l’achat alimentaire par Internet est une tendance en passe de devenir mainstream. En France, 1 internaute sur 5 parmi les acheteurs sur internet réalise ses courses alimentaires en ligne. D’ailleurs, pour 13,3% des Français, l’année 2017 a été marquée par une augmentation de la fréquence des achats alimentaires en ligne, et 4 des 5 applis « bricks and mortar » (c’est-à-dire, applications mobiles de magasins traditionnels) les plus utilisées en France sont celles de distributeurs alimentaires.

Révolution numérique et consommation alimentaire : ce qui a changé

Révolution numérique et consommation alimentaire : ce qui a changé

Désormais, on imagine mal faire sans : Internet est utilisé pour tout et par tous. D’ailleurs, en France, 86% des personnes ont accès à internet et 3 Français sur 4 s’y rendent chaque jour. Dans quel but ? Travail, loisirs… mais aussi pour les achats : 85% des internautes français achètent en ligne. Sans surprise, la tranche d’âge la plus concernée par les achats en ligne est la génération Y (25-34 ans)… mais même les internautes de plus de 65 ans sont touchés par le virus du e-commerce avec 75% d’acheteurs en ligne. En conséquence, le nombre de sites marchands suit une croissance exponentielle : de 82.000 en 2010, il grimpe désormais à plus de 204.000.

Plus récemment encore, avec l’apparition du smartphone il y a 10 ans, les « applis » (logiciel informatique sur smartphones et tablettes tactiles) se sont développées. A l’origine de nouveaux usages du web : 87% du temps passé sur Internet depuis un smartphone se fait par une application, contre 13% par le navigateur. Plus ludiques et plus rapides, les « applis » ont développé un nouveau rapport des consommateurs à l’achat. Il est possible d’acheter partout, tout le temps, en un seul clic : depuis un arrêt de bus à 6h du matin, depuis son lit à 23h, ou depuis un hall de gare ou une station de métro. Le m-commerce (ventes réalisées depuis les smartphones ou mobiles en anglais, sic) est en plein boom, favorisé par son omniprésence mais également par des programmes de fidélité et un fort capital sympathie : les experts estiment qu’il représentera plus de 600 milliards de $ de chiffres d’affaires en 2021, c’est-à-dire dans seulement 3 ans.

Et l’alimentaire, dans tout ça ?

Le lien entre e-commerce et agroalimentaire n’est pas toujours le plus évident. Et pourtant : tous les secteurs d’activité sont concernés par ce bouleversement des comportements. Par exemple, au Royaume-Uni, ce sont déjà 50% des commandes d’une grande chaine de pizzas qui sont réalisées par l’application mobile. Dans un autre registre, au croisement du monde des loisirs et de la restauration, le pouvoir de la géolocalisation des smartphones a permis à près de 500 millions de joueurs de l’appli « Pokémon Go » de se diriger vers des lieux sponsorisés de consommation (cafés, fast food…). Captation de nouveaux clients, fidélisation, visibilité : toutes les entreprises agroalimentaires ont intérêt à exploiter ces nouveaux canaux.

Aujourd’hui, l’achat alimentaire par Internet est une tendance en passe de devenir mainstream. En France, 1 internaute sur 5 parmi les acheteurs sur internet réalise ses courses alimentaires en ligne. D’ailleurs, pour 13,3% des Français, l’année 2017 a été marquée par une augmentation de la fréquence des achats alimentaires en ligne, et 4 des 5 applis « bricks and mortar » (c’est-à-dire, applications mobiles de magasins traditionnels) les plus utilisées en France sont celles de distributeurs alimentaires.

Révolution numérique et consommation alimentaire : ce qui a changé

Révolution numérique et consommation alimentaire : ce qui a changé

Désormais, on imagine mal faire sans : Internet est utilisé pour tout et par tous. D’ailleurs, en France, 86% des personnes ont accès à internet et 3 Français sur 4 s’y rendent chaque jour. Dans quel but ? Travail, loisirs… mais aussi pour les achats : 85% des internautes français achètent en ligne. Sans surprise, la tranche d’âge la plus concernée par les achats en ligne est la génération Y (25-34 ans)… mais même les internautes de plus de 65 ans sont touchés par le virus du e-commerce avec 75% d’acheteurs en ligne. En conséquence, le nombre de sites marchands suit une croissance exponentielle : de 82.000 en 2010, il grimpe désormais à plus de 204.000.

Plus récemment encore, avec l’apparition du smartphone il y a 10 ans, les « applis » (logiciel informatique sur smartphones et tablettes tactiles) se sont développées. A l’origine de nouveaux usages du web : 87% du temps passé sur Internet depuis un smartphone se fait par une application, contre 13% par le navigateur. Plus ludiques et plus rapides, les « applis » ont développé un nouveau rapport des consommateurs à l’achat. Il est possible d’acheter partout, tout le temps, en un seul clic : depuis un arrêt de bus à 6h du matin, depuis son lit à 23h, ou depuis un hall de gare ou une station de métro. Le m-commerce (ventes réalisées depuis les smartphones ou mobiles en anglais, sic) est en plein boom, favorisé par son omniprésence mais également par des programmes de fidélité et un fort capital sympathie : les experts estiment qu’il représentera plus de 600 milliards de $ de chiffres d’affaires en 2021, c’est-à-dire dans seulement 3 ans.

Et l’alimentaire, dans tout ça ?

Le lien entre e-commerce et agroalimentaire n’est pas toujours le plus évident. Et pourtant : tous les secteurs d’activité sont concernés par ce bouleversement des comportements. Par exemple, au Royaume-Uni, ce sont déjà 50% des commandes d’une grande chaine de pizzas qui sont réalisées par l’application mobile. Dans un autre registre, au croisement du monde des loisirs et de la restauration, le pouvoir de la géolocalisation des smartphones a permis à près de 500 millions de joueurs de l’appli « Pokémon Go » de se diriger vers des lieux sponsorisés de consommation (cafés, fast food…). Captation de nouveaux clients, fidélisation, visibilité : toutes les entreprises agroalimentaires ont intérêt à exploiter ces nouveaux canaux.

Aujourd’hui, l’achat alimentaire par Internet est une tendance en passe de devenir mainstream. En France, 1 internaute sur 5 parmi les acheteurs sur internet réalise ses courses alimentaires en ligne. D’ailleurs, pour 13,3% des Français, l’année 2017 a été marquée par une augmentation de la fréquence des achats alimentaires en ligne, et 4 des 5 applis « bricks and mortar » (c’est-à-dire, applications mobiles de magasins traditionnels) les plus utilisées en France sont celles de distributeurs alimentaires.