Dans quelques jours auront lieu les très prisées Glorieuses de Bresse...
Véritable institution, chaque année, à l'approche de Noël, les éleveurs bressans préparent leurs plus beaux spécimens de volailles pour les quatre concours régionaux des Glorieuses, lesquelles se tiendront cette année le mardi 12 décembre à Montrevel-en-Bresse, le vendredi 15 à Bourg-en-Bresse, le samedi 16 à Louhans et le dimanche 17 à Pont-de-Vaux.

Et cette année, inutile de rappeler que les volailles fines de Bresse sertont de la fête pour le soixantième anniversaire de l’AOC ! Pour les éleveurs, ce rendez-vous est attendu ; il est le fruit d'une année de travail, avec potentiellement, une récompense à la clef. Une récompense qui est en fait une reconnaissance du travail effectué, travail d’élevage s’entend, mais aussi travail de préparation, de "roulage".
Une ambiance…
A volailles d’exception, traitement de faveur avant le concours de beauté. Les volailles sont pour l’heure confinées, quatre semaines pour les chapons, trois semaines pour les poulardes, quinze jours pour les poulets. Et cela afin d’obtenir une chaire à la graisse uniformément répartie et une couleur bien blanche. Même après son abattage, la volaille fine de Bresse fait l’objet d’une minutieuse préparation.
Dans les jours à venir, toutes les familles d’éleveurs seront mobilisées, les parents reprendront du service pour préparer les 250 poulardes avant les concours. Il faut en effet abattre, plumer à la main à l'exception de la tête et du cou, effiler et rouler le corps dans une toile de coton ou de lin, cousue et fortement serrée, pour lui donner une forme oblongue. Tout un art qui, au cours des prochaines Glorieuses, sera magnifié. N’est pas reine des volailles qui veut ! Et pour ceux qui en doutent, rendez-vous aux Glorieuses, et tout particulièrement à celle de Louhans…
Dans quelques jours auront lieu les très prisées Glorieuses de Bresse...

Et cette année, inutile de rappeler que les volailles fines de Bresse sertont de la fête pour le soixantième anniversaire de l’AOC ! Pour les éleveurs, ce rendez-vous est attendu ; il est le fruit d'une année de travail, avec potentiellement, une récompense à la clef. Une récompense qui est en fait une reconnaissance du travail effectué, travail d’élevage s’entend, mais aussi travail de préparation, de "roulage".
Une ambiance…
A volailles d’exception, traitement de faveur avant le concours de beauté. Les volailles sont pour l’heure confinées, quatre semaines pour les chapons, trois semaines pour les poulardes, quinze jours pour les poulets. Et cela afin d’obtenir une chaire à la graisse uniformément répartie et une couleur bien blanche. Même après son abattage, la volaille fine de Bresse fait l’objet d’une minutieuse préparation.
Dans les jours à venir, toutes les familles d’éleveurs seront mobilisées, les parents reprendront du service pour préparer les 250 poulardes avant les concours. Il faut en effet abattre, plumer à la main à l'exception de la tête et du cou, effiler et rouler le corps dans une toile de coton ou de lin, cousue et fortement serrée, pour lui donner une forme oblongue. Tout un art qui, au cours des prochaines Glorieuses, sera magnifié. N’est pas reine des volailles qui veut ! Et pour ceux qui en doutent, rendez-vous aux Glorieuses, et tout particulièrement à celle de Louhans…
Dans quelques jours auront lieu les très prisées Glorieuses de Bresse...

Et cette année, inutile de rappeler que les volailles fines de Bresse sertont de la fête pour le soixantième anniversaire de l’AOC ! Pour les éleveurs, ce rendez-vous est attendu ; il est le fruit d'une année de travail, avec potentiellement, une récompense à la clef. Une récompense qui est en fait une reconnaissance du travail effectué, travail d’élevage s’entend, mais aussi travail de préparation, de "roulage".
Une ambiance…
A volailles d’exception, traitement de faveur avant le concours de beauté. Les volailles sont pour l’heure confinées, quatre semaines pour les chapons, trois semaines pour les poulardes, quinze jours pour les poulets. Et cela afin d’obtenir une chaire à la graisse uniformément répartie et une couleur bien blanche. Même après son abattage, la volaille fine de Bresse fait l’objet d’une minutieuse préparation.
Dans les jours à venir, toutes les familles d’éleveurs seront mobilisées, les parents reprendront du service pour préparer les 250 poulardes avant les concours. Il faut en effet abattre, plumer à la main à l'exception de la tête et du cou, effiler et rouler le corps dans une toile de coton ou de lin, cousue et fortement serrée, pour lui donner une forme oblongue. Tout un art qui, au cours des prochaines Glorieuses, sera magnifié. N’est pas reine des volailles qui veut ! Et pour ceux qui en doutent, rendez-vous aux Glorieuses, et tout particulièrement à celle de Louhans…