Accès au contenu
Institut Charolais

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

En 2017, l’Institut Charolais a vu l’activité de sa halle technologique plus que doubler. La transformation à façon a de plus en plus d’adeptes et l’outil continue d’innover à travers de nouvelles recettes, formats, procédés. En parallèle, de remarquables opérations de promotion des viandes sont réalisées.

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

L’assemblée générale de l’Institut Charolais avait lieu le 20 juin dernier à Charolles. Comme chaque année, les responsables de l’association ont présenté le bilan des activités, en matière de communication ; de recherche et d'innovation ; de production et de commercialisation : les trois métiers de l’Institut Charolais. « La structure commence à vivre de son travail », synthétisait le président Henri Guillemot, faisant allusion à la progression du chiffre d’affaires. De fait, la halle technologique du lycée Wittmer - désormais labellisée « plateforme technologique » - a vu son volume d’activité doubler en 2017. Le nombre de verrines produites sur place est passé de 14.300 unités en 2016 à 31.400 unités en 2017, ce qui équivaut à près de 4 tonnes de viande transformée pour plus 5,3 tonnes de produit fini, faisait valoir le directeur Frédéric Paperin.

Essor de la vente directe

C’est surtout l’activité de transformation à façon qui fait un bond avec une demande de plus en plus importante de la part d’éleveurs en vente directe. Un agent de production a été recruté pour renforcer l’activité à la halle. A noter aussi un partenariat fructueux avec l’atelier de transformation Séléviandes (Feder). 13.500 verrines supplémentaires sont par ailleurs réalisées par le partenaire Terrines du Morvan. Elles sont distribuées dans 146 points de vente. La gamme élaborée par Terrines du Morvan est passé de 12 à 21 recettes, notamment de pâtés et tartinades. Un nouveau format de verrine complète l’offre.

Une marque bientôt restylée

Transformée et commercialisé à la fois par l’Institut Charolais et par son partenaire Terrines du Morvan, la marque « Charolais dans l’Assiette » a montré ses limites. Avec le soutien de la Région, un "restylage" du produit est en cours avec comme objectif de repositionner la gamme vis-à-vis de son marché ; de lui redéfinir un nom, une charte graphique, une déclinaison des gammes et recettes, etc… En clair, la marque veut se doter d’une meilleure image, en se positionnant sur le haut de gamme, l’origine, le côté équitable…

60 recettes

Dans le domaine de l’innovation, l’Institut Charolais poursuit son travail de développement de sa gamme de recettes à base de viande bovine, mais aussi ovine et caprine. Vingt cinq nouvelles recettes ont été mises au point et proposées aux entreprises souhaitant développer la commercialisation de produits appertisés. Au total, l’Institut dispose d’une soixantaine de recettes.

Cette année, il vient également de mettre en place un processus de stérilisation en sachet souple. Un conditionnement mieux adapté aux plats cuisinés et autres sauces prêtes à l’emploi. L’étude a par ailleurs permis d’investir dans un système de suivi thermique de la stérilisation reposant sur une cartographie précise des températures en autoclave.

Made in Viande et le Festival du Boeuf

En matière de promotion et de communication, l’Institut mise sur deux action phares : l’opération Made in Viande au printemps et le Festival du Bœuf à la fin de l’année. En 2017, l’opération Made in Viande proposait au public neuf sites de visite dont trois villages "viande" dans l’Autunois, le Charolais et le Louhannais. Chaque site à reçu entre 250 et 700 personnes.

Début décembre, l’Institut Charolais organisait la neuvième édition du concours des apprentis bouchers dans le cadre du Festival du Bœuf. Remportant un succès grandissant, le concours réunissait vingt quatre équipes d’apprentis en provenance de toute la France et de Suisse. Tous les objectifs fixés par les organisateurs étaient atteints : mise en avant du métier de boucher, attirer des jeunes, promouvoir les centres d’apprentissage. Ce concours a même fait l’objet d’une promotion au salon de l’agriculture. 35.600 € de budget sont nécessaires pour organiser cet évènement. L’Institut est notamment aidé dans sa tâche par Interbev et la confédération de la boucherie.

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

L’assemblée générale de l’Institut Charolais avait lieu le 20 juin dernier à Charolles. Comme chaque année, les responsables de l’association ont présenté le bilan des activités, en matière de communication ; de recherche et d'innovation ; de production et de commercialisation : les trois métiers de l’Institut Charolais. « La structure commence à vivre de son travail », synthétisait le président Henri Guillemot, faisant allusion à la progression du chiffre d’affaires. De fait, la halle technologique du lycée Wittmer - désormais labellisée « plateforme technologique » - a vu son volume d’activité doubler en 2017. Le nombre de verrines produites sur place est passé de 14.300 unités en 2016 à 31.400 unités en 2017, ce qui équivaut à près de 4 tonnes de viande transformée pour plus 5,3 tonnes de produit fini, faisait valoir le directeur Frédéric Paperin.

Essor de la vente directe

C’est surtout l’activité de transformation à façon qui fait un bond avec une demande de plus en plus importante de la part d’éleveurs en vente directe. Un agent de production a été recruté pour renforcer l’activité à la halle. A noter aussi un partenariat fructueux avec l’atelier de transformation Séléviandes (Feder). 13.500 verrines supplémentaires sont par ailleurs réalisées par le partenaire Terrines du Morvan. Elles sont distribuées dans 146 points de vente. La gamme élaborée par Terrines du Morvan est passé de 12 à 21 recettes, notamment de pâtés et tartinades. Un nouveau format de verrine complète l’offre.

Une marque bientôt restylée

Transformée et commercialisé à la fois par l’Institut Charolais et par son partenaire Terrines du Morvan, la marque « Charolais dans l’Assiette » a montré ses limites. Avec le soutien de la Région, un "restylage" du produit est en cours avec comme objectif de repositionner la gamme vis-à-vis de son marché ; de lui redéfinir un nom, une charte graphique, une déclinaison des gammes et recettes, etc… En clair, la marque veut se doter d’une meilleure image, en se positionnant sur le haut de gamme, l’origine, le côté équitable…

60 recettes

Dans le domaine de l’innovation, l’Institut Charolais poursuit son travail de développement de sa gamme de recettes à base de viande bovine, mais aussi ovine et caprine. Vingt cinq nouvelles recettes ont été mises au point et proposées aux entreprises souhaitant développer la commercialisation de produits appertisés. Au total, l’Institut dispose d’une soixantaine de recettes.

Cette année, il vient également de mettre en place un processus de stérilisation en sachet souple. Un conditionnement mieux adapté aux plats cuisinés et autres sauces prêtes à l’emploi. L’étude a par ailleurs permis d’investir dans un système de suivi thermique de la stérilisation reposant sur une cartographie précise des températures en autoclave.

Made in Viande et le Festival du Boeuf

En matière de promotion et de communication, l’Institut mise sur deux action phares : l’opération Made in Viande au printemps et le Festival du Bœuf à la fin de l’année. En 2017, l’opération Made in Viande proposait au public neuf sites de visite dont trois villages "viande" dans l’Autunois, le Charolais et le Louhannais. Chaque site à reçu entre 250 et 700 personnes.

Début décembre, l’Institut Charolais organisait la neuvième édition du concours des apprentis bouchers dans le cadre du Festival du Bœuf. Remportant un succès grandissant, le concours réunissait vingt quatre équipes d’apprentis en provenance de toute la France et de Suisse. Tous les objectifs fixés par les organisateurs étaient atteints : mise en avant du métier de boucher, attirer des jeunes, promouvoir les centres d’apprentissage. Ce concours a même fait l’objet d’une promotion au salon de l’agriculture. 35.600 € de budget sont nécessaires pour organiser cet évènement. L’Institut est notamment aidé dans sa tâche par Interbev et la confédération de la boucherie.

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

L’assemblée générale de l’Institut Charolais avait lieu le 20 juin dernier à Charolles. Comme chaque année, les responsables de l’association ont présenté le bilan des activités, en matière de communication ; de recherche et d'innovation ; de production et de commercialisation : les trois métiers de l’Institut Charolais. « La structure commence à vivre de son travail », synthétisait le président Henri Guillemot, faisant allusion à la progression du chiffre d’affaires. De fait, la halle technologique du lycée Wittmer - désormais labellisée « plateforme technologique » - a vu son volume d’activité doubler en 2017. Le nombre de verrines produites sur place est passé de 14.300 unités en 2016 à 31.400 unités en 2017, ce qui équivaut à près de 4 tonnes de viande transformée pour plus 5,3 tonnes de produit fini, faisait valoir le directeur Frédéric Paperin.

Essor de la vente directe

C’est surtout l’activité de transformation à façon qui fait un bond avec une demande de plus en plus importante de la part d’éleveurs en vente directe. Un agent de production a été recruté pour renforcer l’activité à la halle. A noter aussi un partenariat fructueux avec l’atelier de transformation Séléviandes (Feder). 13.500 verrines supplémentaires sont par ailleurs réalisées par le partenaire Terrines du Morvan. Elles sont distribuées dans 146 points de vente. La gamme élaborée par Terrines du Morvan est passé de 12 à 21 recettes, notamment de pâtés et tartinades. Un nouveau format de verrine complète l’offre.

Une marque bientôt restylée

Transformée et commercialisé à la fois par l’Institut Charolais et par son partenaire Terrines du Morvan, la marque « Charolais dans l’Assiette » a montré ses limites. Avec le soutien de la Région, un "restylage" du produit est en cours avec comme objectif de repositionner la gamme vis-à-vis de son marché ; de lui redéfinir un nom, une charte graphique, une déclinaison des gammes et recettes, etc… En clair, la marque veut se doter d’une meilleure image, en se positionnant sur le haut de gamme, l’origine, le côté équitable…

60 recettes

Dans le domaine de l’innovation, l’Institut Charolais poursuit son travail de développement de sa gamme de recettes à base de viande bovine, mais aussi ovine et caprine. Vingt cinq nouvelles recettes ont été mises au point et proposées aux entreprises souhaitant développer la commercialisation de produits appertisés. Au total, l’Institut dispose d’une soixantaine de recettes.

Cette année, il vient également de mettre en place un processus de stérilisation en sachet souple. Un conditionnement mieux adapté aux plats cuisinés et autres sauces prêtes à l’emploi. L’étude a par ailleurs permis d’investir dans un système de suivi thermique de la stérilisation reposant sur une cartographie précise des températures en autoclave.

Made in Viande et le Festival du Boeuf

En matière de promotion et de communication, l’Institut mise sur deux action phares : l’opération Made in Viande au printemps et le Festival du Bœuf à la fin de l’année. En 2017, l’opération Made in Viande proposait au public neuf sites de visite dont trois villages "viande" dans l’Autunois, le Charolais et le Louhannais. Chaque site à reçu entre 250 et 700 personnes.

Début décembre, l’Institut Charolais organisait la neuvième édition du concours des apprentis bouchers dans le cadre du Festival du Bœuf. Remportant un succès grandissant, le concours réunissait vingt quatre équipes d’apprentis en provenance de toute la France et de Suisse. Tous les objectifs fixés par les organisateurs étaient atteints : mise en avant du métier de boucher, attirer des jeunes, promouvoir les centres d’apprentissage. Ce concours a même fait l’objet d’une promotion au salon de l’agriculture. 35.600 € de budget sont nécessaires pour organiser cet évènement. L’Institut est notamment aidé dans sa tâche par Interbev et la confédération de la boucherie.

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

Institut Charolais : la halle technologique tient ses promesses

L’assemblée générale de l’Institut Charolais avait lieu le 20 juin dernier à Charolles. Comme chaque année, les responsables de l’association ont présenté le bilan des activités, en matière de communication ; de recherche et d'innovation ; de production et de commercialisation : les trois métiers de l’Institut Charolais. « La structure commence à vivre de son travail », synthétisait le président Henri Guillemot, faisant allusion à la progression du chiffre d’affaires. De fait, la halle technologique du lycée Wittmer - désormais labellisée « plateforme technologique » - a vu son volume d’activité doubler en 2017. Le nombre de verrines produites sur place est passé de 14.300 unités en 2016 à 31.400 unités en 2017, ce qui équivaut à près de 4 tonnes de viande transformée pour plus 5,3 tonnes de produit fini, faisait valoir le directeur Frédéric Paperin.

Essor de la vente directe

C’est surtout l’activité de transformation à façon qui fait un bond avec une demande de plus en plus importante de la part d’éleveurs en vente directe. Un agent de production a été recruté pour renforcer l’activité à la halle. A noter aussi un partenariat fructueux avec l’atelier de transformation Séléviandes (Feder). 13.500 verrines supplémentaires sont par ailleurs réalisées par le partenaire Terrines du Morvan. Elles sont distribuées dans 146 points de vente. La gamme élaborée par Terrines du Morvan est passé de 12 à 21 recettes, notamment de pâtés et tartinades. Un nouveau format de verrine complète l’offre.

Une marque bientôt restylée

Transformée et commercialisé à la fois par l’Institut Charolais et par son partenaire Terrines du Morvan, la marque « Charolais dans l’Assiette » a montré ses limites. Avec le soutien de la Région, un "restylage" du produit est en cours avec comme objectif de repositionner la gamme vis-à-vis de son marché ; de lui redéfinir un nom, une charte graphique, une déclinaison des gammes et recettes, etc… En clair, la marque veut se doter d’une meilleure image, en se positionnant sur le haut de gamme, l’origine, le côté équitable…

60 recettes

Dans le domaine de l’innovation, l’Institut Charolais poursuit son travail de développement de sa gamme de recettes à base de viande bovine, mais aussi ovine et caprine. Vingt cinq nouvelles recettes ont été mises au point et proposées aux entreprises souhaitant développer la commercialisation de produits appertisés. Au total, l’Institut dispose d’une soixantaine de recettes.

Cette année, il vient également de mettre en place un processus de stérilisation en sachet souple. Un conditionnement mieux adapté aux plats cuisinés et autres sauces prêtes à l’emploi. L’étude a par ailleurs permis d’investir dans un système de suivi thermique de la stérilisation reposant sur une cartographie précise des températures en autoclave.

Made in Viande et le Festival du Boeuf

En matière de promotion et de communication, l’Institut mise sur deux action phares : l’opération Made in Viande au printemps et le Festival du Bœuf à la fin de l’année. En 2017, l’opération Made in Viande proposait au public neuf sites de visite dont trois villages "viande" dans l’Autunois, le Charolais et le Louhannais. Chaque site à reçu entre 250 et 700 personnes.

Début décembre, l’Institut Charolais organisait la neuvième édition du concours des apprentis bouchers dans le cadre du Festival du Bœuf. Remportant un succès grandissant, le concours réunissait vingt quatre équipes d’apprentis en provenance de toute la France et de Suisse. Tous les objectifs fixés par les organisateurs étaient atteints : mise en avant du métier de boucher, attirer des jeunes, promouvoir les centres d’apprentissage. Ce concours a même fait l’objet d’une promotion au salon de l’agriculture. 35.600 € de budget sont nécessaires pour organiser cet évènement. L’Institut est notamment aidé dans sa tâche par Interbev et la confédération de la boucherie.

Images